Passion ou La mort d'Alissa
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«... vint alors le temps de l'Érotisme suprême...
Il embrassa Alissa, effleura de ses lèvres les cheveux,
l'oreille, en goûta avec la langue l'amertume à peine
perceptible, et descendit sur la peau tendre du corps,
frontière de la tendresse irréalisable et source de soif
éternelle, et dans le temps suspendu, il embrassait le
moindre petit poil, le moindre relief, si tendrement qu'il
sentit sa chair défaillir, le monde entier défaillit dans
l'attente, jusqu'à ce qu'enfin, il entende sa voix.»
Un meurtre a lieu un Vendredi saint : Alissa est tuée. Arrivé
sur les lieux du crime, le juge d'instruction écoute les
dépositions des témoins, Yo et Sebastian, ainsi que les aveux
complets et spontanés de l'assassin (Yossif). Un procès est
ouvert. Tout à coup, un inconnu en uniforme de policier fait
irruption dans la maison et donne l'ordre que l'on interrompe
l'enquête jusqu'au dimanche de Pâques : n'y aurait-il pas
quelque bluff là-dessous, comment peut-on tuer un Vendredi
saint, quand les morts ressuscitent le dimanche de Pâques ?...
Le roman Passion ou la mort d'Alissa transporte le
lecteur dans une atmosphère énigmatique où le criminel se
mêle à l'érotique, où le mystérieux se fond dans le réel, où
verbe, musique, spirituel et quotidien se croisent et se fuient,
interprétant un «Art de la Fugue».
Il embrassa Alissa, effleura de ses lèvres les cheveux,
l'oreille, en goûta avec la langue l'amertume à peine
perceptible, et descendit sur la peau tendre du corps,
frontière de la tendresse irréalisable et source de soif
éternelle, et dans le temps suspendu, il embrassait le
moindre petit poil, le moindre relief, si tendrement qu'il
sentit sa chair défaillir, le monde entier défaillit dans
l'attente, jusqu'à ce qu'enfin, il entende sa voix.»
Un meurtre a lieu un Vendredi saint : Alissa est tuée. Arrivé
sur les lieux du crime, le juge d'instruction écoute les
dépositions des témoins, Yo et Sebastian, ainsi que les aveux
complets et spontanés de l'assassin (Yossif). Un procès est
ouvert. Tout à coup, un inconnu en uniforme de policier fait
irruption dans la maison et donne l'ordre que l'on interrompe
l'enquête jusqu'au dimanche de Pâques : n'y aurait-il pas
quelque bluff là-dessous, comment peut-on tuer un Vendredi
saint, quand les morts ressuscitent le dimanche de Pâques ?...
Le roman Passion ou la mort d'Alissa transporte le
lecteur dans une atmosphère énigmatique où le criminel se
mêle à l'érotique, où le mystérieux se fond dans le réel, où
verbe, musique, spirituel et quotidien se croisent et se fuient,
interprétant un «Art de la Fugue».
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