Vignobles suisses
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De la Suisse, on connaît le Cervin et l'Eiger. Mais sait-on qu'au pied de ces prestigieuses montagnes pousse de la vigne ?
Elle naît presque naturellement sur les coteaux bordant, à l'aval de leur source, les deux grands fleuves européens
que sont le Rhin et le Rhône.
Les Francophones ont baptisé la trilogie sol-climat-homme du nom de «terroir», qui n'a pas d'équivalent dans une
autre langue que le français. En découvrant ces paysages envoûtants, on devine que, derrière l'objectif du photographe
qui a su fixer sur sa pellicule les vignes tout au long de l'année, il y a, depuis plus d'un millénaire, le travail
de l'homme. Les moines d'hier ont défriché les bords du lac Léman pour y implanter les premiers ceps de vigne et
modeler le paysage. Les vignerons d'aujourd'hui entretiennent et reconstruisent, pierre après pierre, les murs qui
soutiennent les parchets qu'ils travaillent, saison après saison, sur des coteaux souvent abrupts.
Pour retrouver la quintessence de ces paysages, il suffit de déboucher une bouteille de vin. On dit du blanc de ces
coteaux suisses qu'il est volontiers «minéral» : ainsi, une bouteille contient sa part d'éternité...
Photographies et textes évoquent ici le processus de l'élaboration du vin. Mais montrent aussi que la Suisse, sur
15 000 hectares, depuis dix ans, accomplit une véritable révolution vers des vins toujours plus expressifs, toujours
plus originaux. Pour qu'ils ressemblent à ces paysages, comparables à nul autre.
Elle naît presque naturellement sur les coteaux bordant, à l'aval de leur source, les deux grands fleuves européens
que sont le Rhin et le Rhône.
Les Francophones ont baptisé la trilogie sol-climat-homme du nom de «terroir», qui n'a pas d'équivalent dans une
autre langue que le français. En découvrant ces paysages envoûtants, on devine que, derrière l'objectif du photographe
qui a su fixer sur sa pellicule les vignes tout au long de l'année, il y a, depuis plus d'un millénaire, le travail
de l'homme. Les moines d'hier ont défriché les bords du lac Léman pour y implanter les premiers ceps de vigne et
modeler le paysage. Les vignerons d'aujourd'hui entretiennent et reconstruisent, pierre après pierre, les murs qui
soutiennent les parchets qu'ils travaillent, saison après saison, sur des coteaux souvent abrupts.
Pour retrouver la quintessence de ces paysages, il suffit de déboucher une bouteille de vin. On dit du blanc de ces
coteaux suisses qu'il est volontiers «minéral» : ainsi, une bouteille contient sa part d'éternité...
Photographies et textes évoquent ici le processus de l'élaboration du vin. Mais montrent aussi que la Suisse, sur
15 000 hectares, depuis dix ans, accomplit une véritable révolution vers des vins toujours plus expressifs, toujours
plus originaux. Pour qu'ils ressemblent à ces paysages, comparables à nul autre.
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