Madame le proviseur
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Proviseur d'un des plus prestigieux établissements de France, le
lycée Fénelon, Marguerite Gentzbittel publie ici ses «carnets de
métier». Fille de cheminot et de femme de ménage, boursière, elle prépare
l'École normale supérieure de Fontenay, décroche l'agrégation,
enseigne l'anglais puis assouvit son rêve : devenir maître à bord, diriger
«sa» maison.
On lui confie, pour commencer, un énorme complexe dans la banlieue
de Nevers. Ensuite, c'est tout le contraire : Paris, Fénelon, un
centre d'excellence. Avec verve, chaleur, humour, passion, avec talent
et bon sens, elle raconte son itinéraire professionnel.
Si vous croyez qu'une vie d'éducateur c'est triste, vous vous trompez.
Lisez ces pages.
Si vous croyez qu'un proviseur n'est qu'un administrateur, loin
des élèves, vous vous trompez. Lisez ces pages.
Si vous croyez qu'un chef d'établissement «arrivé» ménage les
corps constitués, les syndicats, les fédérations de parents, les ministres,
vous vous trompez. Lisez ces pages.
Si vous croyez que le «patron» d'un grand lycée parisien ne se
soucie que de fabriquer à coups de maths une élite, et piétine le reste,
vous ne vous trompez pas.
Mais ce «patron»-là, justement, est différent.
Dévoilant le dessous des cartes, l'intimité des conseils de classe, le
casse-tête de l'orientation, les contraintes de la gestion, les gags et les
drames de la condition enseignante, Marguerite Gentzbittel montre
qu'on ne saurait former les jeunes sans les entendre, sans les respecter.
lycée Fénelon, Marguerite Gentzbittel publie ici ses «carnets de
métier». Fille de cheminot et de femme de ménage, boursière, elle prépare
l'École normale supérieure de Fontenay, décroche l'agrégation,
enseigne l'anglais puis assouvit son rêve : devenir maître à bord, diriger
«sa» maison.
On lui confie, pour commencer, un énorme complexe dans la banlieue
de Nevers. Ensuite, c'est tout le contraire : Paris, Fénelon, un
centre d'excellence. Avec verve, chaleur, humour, passion, avec talent
et bon sens, elle raconte son itinéraire professionnel.
Si vous croyez qu'une vie d'éducateur c'est triste, vous vous trompez.
Lisez ces pages.
Si vous croyez qu'un proviseur n'est qu'un administrateur, loin
des élèves, vous vous trompez. Lisez ces pages.
Si vous croyez qu'un chef d'établissement «arrivé» ménage les
corps constitués, les syndicats, les fédérations de parents, les ministres,
vous vous trompez. Lisez ces pages.
Si vous croyez que le «patron» d'un grand lycée parisien ne se
soucie que de fabriquer à coups de maths une élite, et piétine le reste,
vous ne vous trompez pas.
Mais ce «patron»-là, justement, est différent.
Dévoilant le dessous des cartes, l'intimité des conseils de classe, le
casse-tête de l'orientation, les contraintes de la gestion, les gags et les
drames de la condition enseignante, Marguerite Gentzbittel montre
qu'on ne saurait former les jeunes sans les entendre, sans les respecter.
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